JURASSIC PARK ♦
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
Le Deal du moment : -20%
Ecran PC GIGABYTE 28″ LED M28U 4K ( IPS, 1 ms, ...
Voir le deal
399 €

Partagez|

La malchance me suis... Lui .... Une violence ?

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
AuteurMessage
Baylee I. Cromwell

Baylee I. Cromwell

    You’ve opened the door now,
    don’t let it close ...

♦ Messages. : 91
♦ Date d'inscription. : 27/09/2010
♦ Âge. : 34
♦ Prénom. : (=
♦ Célébrité. : Emilie De Ravin
♦ Crédits. : Baylee


« Plus Fort qu'Indiana Jones ♣.
âge: 22 ans et demi
affinités:
♦ citation: On peut changer de souffrance. On ne peut pas la supprimer ...

La malchance me suis... Lui .... Une violence ?  Vide
MessageSujet: La malchance me suis... Lui .... Une violence ? La malchance me suis... Lui .... Une violence ?  Icon_minitimeMer 6 Oct - 22:11

Ma vie avait pris une tournure que je n’avais pas su gérer. A vraie dire je n’avais rien fait pour l’arrêter. Du moins je m’en obligé d’y croire. Quoi qu’il m’arrive quoi que je fasse… je faisais le mauvais choix. J’en étais consciente… Il suffisait de voir lorsque je fus abusé sexuellement. Tout venait de moi, j’avais pris la mauvaise porte je l’avais ouverte et j’en payais les conséquences … Plus je grandissais et plus je voyais que le monde autour de moi tournait rond. Non c’était moi qui ne tournait pas rond.. Pas du tout. Un souffle le mien, une légère brise, le vent. Un bruit, la vague qui s’écrasait sur le sable. Une goutte. La mienne, mes larmes qui tombaient sur mes genoux dénudé. Dénudé à cause du peu de vêtement que j’avais. Quelques robes, des vieux vêtements déchirés. Voilà ce qu’il me restait. Pas grand-chose à vrai dire. Je guettais l’horizon, dans l’espoir d’y voir plus clair, de voir ne serait-ce que l’ombre d’un bateau. Mais à quoi bon espérer ? L’espoir nous détruit… L’espoir n’existe pas. Il n’a jamais existé pour moi. Ce mot ne signifie strictement rien. Le jour se levait. Le soleil éclairait à part entière la plage. C‘était d’une beauté à vous couper le souffle et pourtant je ne voulais qu’une chose. Partir d’ici. Loin, j’étais prête à partir à la nage s’il le fallait… J’étais surement folle, enfin je l’étais, c’était une certitude…Soufflant doucement je détournais le regard de cette beauté trop surnaturel pour regarder au loin. La plage était calme… trop calme. Je n’avais vu personne depuis des jours, m’isolant ici pour mieux souffrir en silence. Seul Sloan venait me rendre visite… Il était le seul à qui je parlais réellement sur cette fichue île de pacotille… je me laissais tomber sur le sable et fit l’étoile de mer bougeant mes bras et mes jambes… Le ciel était fabuleux… Trop même. Je me pinçais les lèvres et souffla un bon coup. Il fallait que j’aille au village…

Je devais acheter de quoi manger pour la semaine prochaine… autant y aller de bon matin. Les bras croisaient derrière la tête je soufflais légèrement et laissa le temps passer. Je repensais au jour ou le bateau s’échoua sur l’ile. On se serait cru comme dans Titanic, sauf que bémol… Rose avait eu un Jack elle… Moi j’avais eu qui ? Personne.. Moi et moi seul… Je venais de sortir de cette pièce, souffrante, une envie de tuer… Lui, sans le savoir venait de me confier le meurtre d’une personne chère à mes yeux… Ma mère. Je voulais le tuer, je voulais l’achever… Mais j’espérais au fond de moi qu’il se soit noyé… Ou bien même heurté à une barrière de corail et que les requins l’ont bouffé… J’étais méchante, j’étais cruelle, mais il avait tué ma mère… Et il se ventait de cela… Comment une personne pouvait-elle aussi horrible ? Comment ?!! Je soufflais doucement me relevant. Il fallait que j’aille au marché. Je filais dans ma maison et m’habilla plus proprement. Un simple haut, légèrement troué dans le dos, un short, ici impossible de mettre plus, la chaleur était bien trop insupportable. Je me regardais dans mon miroir de fortune et sorti de chez moi. Fermant la porte mais pas a clé… les serrures ne se fermaient et ne s’ouvraient que de l’intérieur … Je partais donc vers le village. D’un pas calmé et posé je regardais droit devant moi glissant la plus part du temps mes pieds nus dans le sable. Les mains dans les poches un sac a l’épaule je sifflotais de temps en temps le temps d’arriver vers le village. Quelques personnes étaient déjà dehors. Je leurs souriait légèrement. Certains étaient des naufragés comme moi. Je pouvais les reconnaitre, je les avais croisés sur le bateau… Et Jude… Jude elle qui était avec moi dans le bateau… Elle avec qui j’avais couché. Un sourire en coin se logea sur mon visage … Il ne fallait pas que je pense à cela… non… L’envie me prendrait… Et je serais obligé d’aller voir Sloan… Lui… Cet homme qui me rend folle au lit.

C’était purement physique, mais je ressentais quelque chose pour lui, je tenais à lui, ce n’était pas de l’amour, mais plus une grande amitié. Je me confiais à lui, autant que lui à moi. Une fois sur le marché je commençais à acheter ce dont j’avais besoin… Pas trop non plus. Je sac plein je fis demi tour pour rentrer chez moi. Le soleil cognait déjà. Ma peau, d’un blanc crémeux, était depuis mon arrivée sur l’île… D’une légère teinte matte. J’avais l’impression de ne pas me reconnaitre… L’eau elle, était plus paisible que tout à l’heure… Peut être que je prendrais un bain une fois le tout ranger dans ms armoires elle aussi de fortune. Je regrettais tellement ma villa… Ma piscine, ma maison… Mon pays, l’Australie… soupirant doucement j’arrivais pratiquement chez moi. Je pouvais voir ma petite cabane, qui n’avait pas beaucoup d’espace. Une chambre, un salon qui faisait aussi office de cuisine et une salle d’eau … Bien que ça ne soit pas si pratique que cela. Je me lavais plus à la mer que dans cette pièce… Je marchais, silencieusement, vers ma maison elle était la devant moi. Je pris la poignée dans ma main et la tourna dans un grincement léger. Poussant la porte je rentrais dans ma maison et ferma celle-ci a clé. Toujours quand j’étais dedans. Je relevais la tête et lâcha mon sac. Il était la, il était dans ma maison. Prise de panique je fis demi-tour cherchant enlever le verrou mais c’était trop tard… J’étais condamné. Ses mains étaient sur ma taille.
Revenir en haut Aller en bas

La malchance me suis... Lui .... Une violence ?

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
JURASSIC PARK ♦ :: ♦ THE ISLA NUBLAR. :: « Village :: « Habitations :: « Cabane de Baylee I. Cromwell-