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« A castaway keeps the horror of the waves, even quiet. »

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Bradley C. Dashwood

Bradley C. Dashwood



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« A castaway keeps the horror of the waves, even quiet. » Vide
MessageSujet: « A castaway keeps the horror of the waves, even quiet. » « A castaway keeps the horror of the waves, even quiet. » Icon_minitimeDim 26 Sep - 0:21

« A castaway keeps the horror of the waves, even quiet. » 153 « A castaway keeps the horror of the waves, even quiet. » 2ccw3c « A castaway keeps the horror of the waves, even quiet. » 003

Le vent agitait les vagues, qui ondulait pour s'écraser mollement contre le sable de la plage. Il ramenait avec lui toutes les effluves marines de la mer, et fouettait avec vigueur mon visage, s'insinuant dans ma chemise, secouant mes cheveux. Je restai là, sur la plage, à fixer l'horizon plat de la mer. Les vagues s'écrasaient sur mes chevilles, comme si rien ni personne ne pouvait les empêcher de continuer leur chemin. Ces parfums salés me rendaient nostalgiques. Étant petit, mes parents et moi passions beaucoup de nos vacances, à la mer. La mer, la plage. Cela est synonyme de joie, de bonne humeur, de farniente, de plaisir. Or ici, tout en était autrement, dorénavant. Je me remémorai de nombreux souvenirs d'enfances, tous aussi joyeux les uns que les autres.

Les souvenirs, sur cette île, c'est tout ce qu'il nous restait pour parvenir à nous distraire ne serait-ce qu'un peu. La vie était si morne et en même temps si agitée. Nous passions notre temps à chercher de la nourriture et un endroit sec, à l'abri du vent et des créatures où dormir. Lorsque nous allions en forêt, nous ne pouvions nous départir de cette peur au ventre perpétuelle. Cette peur de se faire surprendre par un de ces … dinosaures. Oui, des dinosaures. Moi aussi je n'y croyais pas au début, mais lorsque j'en ai vu de mes propres yeux, et bien vivants, cela ne m'a plus fait rire du tout. Cette île mystérieuse était peuplée de dinosaures. Je ne sais pas comment ils avaient réussi à arriver ici, mais je me doutais que c'était l'œuvre de scientifiques, qui avait peut-être réussi à extraire ne serait-ce qu'un brin d'ADN de dinosaures dans des résines. La science, de nos jours, plus rien ne nous étonne... Ce que je ne comprenais pas également, c'était le « pourquoi ». Pourquoi avoir procréer des dinosaures ? Pour la science ? Pour l'argent ? Mais ne croyez-vous pas qu'il n'y a déjà pas assez de dégâts sur cette Terre... Je secouai la tête, penaud. Ce n'était pas le moment de rêvasser et encore moins de se prendre la tête avec ces histoires de dinosaures. Ici, il faut agir et non pas réfléchir. On n'a pas le temps de réfléchir.

Je longeai le bord de la plage, les pieds toujours dans l'eau. Je faisais tout mon possible pour atteindre le bateau échoué le moins vite possible. Ce bateau, je ne pouvais plus le voir en peinture. C'était à cause de lui que nous avions échoué, sur cette misérable île. Tout se déroulait si merveilleusement bien pourtant. Il fallait toujours que cela se gâte, évidemment... Je levai la tête, et failli percuter l'imposant paquebot. Je stoppai de justesse, étant nez à nez avec la carlingue. Mais il voulait ma mort ma parole... Je partis sur le flanc gauche du navire, m'enfonçant dans l'eau, qui m'arrivait jusqu'aux genoux. Je m'appuyai contre le métal tout en tâtant du pied les rochers glissants. Je n'avais jamais été très à l'aise avec les sports d'équilibre, et je devais vraiment avoir l'air débile en fouettant l'air de mon bras libre, mais personne n'était là pour me regarder de toute façon...

Enfin ma main s'accrocha à un objet froid et dur, l'encadrement de la porte de l'embarcation. Heureusement pour moi, la porte avait été défoncée et l'entrée béante laissait s'engouffrer les vagues. Je m'accrochai à l'encadrement de la porte et me hissai dans le bateau échoué. Des tas d'objet, de papier, de vêtement flottaient mollement sur l'eau que seuls les remous que provoquaient mes pas semblaient mouvoir. C'est effrayant, de voir ce sinistre « accident »... Moi, et tous les vacanciers qui étaient sur ce rafiot, avions presque tout perdu. Nous n'avions pas eu le temps de faire nos valises, l'alarme ayant été donnée très tardivement... Nous n'avions que pu nous contentait du strict minimum : c'est à dire ce qui tenait dans nos bras et qui n'y était pas échappé lorsque nous avions sauté à l'eau, pour rejoindre la plage. Pour moi : cela se résumait à mon I-Phone, qui était niché dans une pochette submersible et qui a par cette occasion résister à l'assaut des vagues – je ne sais par quel miracle - et mon porte-feuille, dont les dollars sont maintenant inutilisables. Maigre bagage... Enfin, cela dit, j'étais dans ce fichu rafiot pour essayer de récupérer quelques affaires qui serviraient pour notre petit campement provisoire. Après tout, nous n'avions passé qu'une nuit sur cette île. Était-elle habitée ? Je ne saurais l'affirmer, mais je savais seulement que des gens étaient habitués à vivre sur cette île. Comme cette mystérieuse jeune femme qui était venue nous aider, la nuit du naufrage... Mais nous seront bientôt fixés quant à l'existence d'un village, certains hommes des naufragés étant partis en « reconnaissance » des lieux. Je priai mentalement pour que ceux-ci restent vivants, qu'ils ne fassent pas de mauvaises rencontres avec les dinosaures...

Ce que je redoutais arriva. En m'enfonçant dans le couloir des cabines, je vis un corps en lambeaux flotter dans les quelques 70aines de centimètre d'eau de mer. Cette triste vision me retourna l'estomac et je retins un haut le cœur. Je sortis en trombe de ce lieu macabre, soulevant de grosses gerbes d'eau sous mes pieds. En voyant cet homme, déchiqueté, je m'estimais très chanceux. J'aurais très bien pu finir comme ça. Cameron, mon meilleur ami aurait très bien pu finir comme ça lui aussi... Je sortis la tête du paquebot et respirait les bourrasques fraîches venant de la mer. Je m'emplis les poumons avant de sortir définitivement de ce rafiot de malheur. Je n'avais même pas pu chercher mes affaires, mais j'avais récupérer quelques vêtements égarés. Cela ferait l'affaire pour notre clan de « naufragés ». Je regagnai la berge rapidement, heureux de retrouver un sol stable. Je lâchai la boule de vêtement sur le sable et me réfugier dans le creux de deux gros rochers pour renvoyer mon maigre repas de ce midi. Cette vision d'horreur me secouait encore. Oui, on peut dire que j'étais sensible, les conditions de cette île ne rendant pas la tâche beaucoup plus facile. Et sur le continent, je n'étais pas vraiment habitué à tomber nez à nez tous les jours avec des cadavres...

Je me passai un peu d'eau sur la figure, avant de m'affaler dans le sable humide. Je fouillai mes poches, machinalement, avant de me rendre compte qu'elles étaient vides. Évidemment, toutes les cigarettes avaient pris l'eau... Je n'étais pas un gros fumeur, mais lorsque j'étais contrarié il fallait que je fume. Or, à présent c'était impossible et cela ne me rendit que plus frustré. Je pouvais m'estimer heureux, oui mais paradoxalement pas du tout. Si seulement j'étais resté en Amérique, si je n'avais pas acheté cette foutue croisière en paquebot de luxe et si tout simplement je n'y étais pas allé. Je n'aurais pas entraîné Cameron de cette merde... Mais ce qui est fait est fait, et l'heure n'était pas aux regrets... Se pouvait-il que cela, le naufrage, cette île, cet emprisonnement ne nous apporte qu'une expérience bénéfique ? J'en doutais fort...


Dernière édition par Bradley C. Dashwood le Dim 26 Sep - 17:17, édité 3 fois
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Cheyenne N. St John

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MessageSujet: Re: « A castaway keeps the horror of the waves, even quiet. » « A castaway keeps the horror of the waves, even quiet. » Icon_minitimeDim 26 Sep - 15:21

« A castaway keeps the horror of the waves, even quiet. » Olga-icons-olga-kurylenko-3293515-100-100 ft. « A castaway keeps the horror of the waves, even quiet. » Matt-matt-bomer-15194328-100-100
Cheyenne N. St John ft. Bradley C. Dashwood
"A castaway keeps the horror of the waves, even quiet."


    J'avais pas réussit à dormir, c'était impossible pour moi de fermer les yeux sur cette plage en me disant qu'il y avait des dinosaures dans la forêt qui longeait la plage. Mon coeur battait à cent à l'heure lorsque j'entendais un bruit autour de moi. Pour commencer, j'avais décidé de m'asseoir et de veiller, mais ça aussi c'était impossible. C'est pourquoi je m'étais levée et j'avais couru jusqu'au Paquebot. Je m'étais engouffrée dans l'eau et j'étais entrée dans celui-ci. Il m'offrirait un abri, loin de ces bêtes carnivores. J'étais monté jusqu'au pont dans le noir complet. Une fois sur une chaise longue, j'avais réussit à fermer les yeux. Je m'étais endormit tranquillement, ne me souciant pas de ce qui se passait sur la plage. Je fus réveillée par un bruit étrange dans le bateau. J'avais sursauté et j'avais essayé de trouver un arme pour me défendre au cas où, c'était peut-être pas une si bonne idée que ça de dormir dans le bateau, maintenant j'étais piégée si jamais c'était bel et bien un dinosaures.

    J'avais parcouru le bateau de fond en comble sans rien y trouver, enfin si, mais ça n'était pas ce que je cherchais en premier. Je tombais sur des affaires, des choses parfois personnel, des photos, des bijoux. Je ne m'arrêtais pas pour mieux voir, continuant mon chemin, toujours sur mes gardes, je sortis du bateau, titubant, avec mon morceau de bois à la main. En le regardant une nouvelle fois, je me suis dit que j'étais débile, c'est pas avec un bout de bois que j'allais me défendre contre un dinosaure. Je le jetais donc dans la mer et marchait jusqu'à la plage. En chemin, je rencontrais quelqu'un. Ce quelqu'un n'était autre que Bradley, d'ailleurs, il avait l'air de pas aller super bien. J'entendais qu'il termine ce qu'il était entrain de faire, l'observant depuis les vagues. Il s'assit sur le sable et sembla chercher quelque chose dans ses poches. Je m'approchais de lui, lentement, pas besoin de se presser, lorsque je fut à sa hauteur, je le saluais:


      Cheyenne ••• Bonjours Mr. Dashwood!


    Oui, on avait discuté, mais on était pas encore passé au « Je te tutoie et j'appelle par ton prénom », alors pour moi et pour le moment, il resterait Mr. Dashwood. Je lui souris et je m'assis à côté de lui.

      Cheyenne ••• Vous cherchez quelque chose? Ça ne vous déranges pas que je m'assoie avec vous?


    Oui, parce qu'après tout, il voulait peut-être être seul, mais moi, j'avais envie d'être entourée, être seule sur cette île c'était synonyme de signer son arrêt de mort et croyez-moi, ça ne m'intéresse pas! Si jamais j'embêtais ce cher Bradley, j'irais chercher quelqu'un d'autre que je n'importunerais pas pour éviter de me retrouver seule. Oui, j'aimais pas ça la solitude, c'est mon droit! J'entendis donc patiemment que Bradley me réponde, il était pas obligé non plus, mais pour engager une conversation, c'était mieux si on est deux! Je sentais qu'il y avait encore une gêne entres nous, dommage! Si sa langue se déliait, j'essaierais de le mettre en confiance et de lui faire comprendre qu'il n'y avait pas de mal aise entre nous, que j'avais déjà oublié ce qui s'était passé à la soirée!


Dernière édition par Cheyenne N. St John le Mer 29 Sep - 18:22, édité 1 fois
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Bradley C. Dashwood

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MessageSujet: Re: « A castaway keeps the horror of the waves, even quiet. » « A castaway keeps the horror of the waves, even quiet. » Icon_minitimeDim 26 Sep - 19:20

Mes yeux longeaient les courbes de la surface de la mer, plate et languissante. Je suivais les mouvements las des remous des vagues, qui à chaque fois s'écrasaient sur le sable tout en grignotant du terrain. D'ailleurs, des petits pas pressés avaient profité de cette accalmie pour se frayer un chemin à travers les vagues et les rochers. Une petite voix s'éleva dans l'air, couvrant le bruit des vagues et m'arrachant par la même occasion à ma contemplation. « Bonjours Mr. Dashwood! » Ces petites notes de musique se faisaient hésitantes sur mon prénom, mais je sentais une pointe de soulagement et d'enthousiasme à travers elles. Je tournai la tête vers l'apparition, et découvris Cheyenne, dont les cheveux serpentaient dans l'air, agités par le vent marin. Elle m'adressa un petit sourire poli avant de continuer. « Vous cherchez quelque chose? Ça ne vous déranges pas que je m'assoie avec vous? » Profitant de ma temporaire stupeur – oui je l'avoue j'avais eu peur d'être surpris comme ça – elle s'assis à côté de moi, ne quittant pas le petit sourire peint sur ses lèvres charnues. J'étais étonné qu'elle emploi la marque de politesse « Monsieur », mais je négligeai ce petit détail. Ce n'était pas ma principale priorité. « Mademoiselle St John ? Mais que faites-vous ici toute seule ? » m'enquis-je auprès d'elle. Elle n'avait pas froid aux yeux, pour se promener seule. Qui sait ce qu'il pouvait lui arriver, offerte comme proie frêle aux monstres tapis dans les fougères ? La jeune femme répondit à ma question par un regard éloquent, un regard qui signifiait qu'elle était assez grande pour savoir ce qu'elle devait faire ou non. Je n'insistais pas, agrémentant sa réponse muette par un petit sourire contrit. « Pour répondre à votre question, je suis venu ici pour tenter de récupérer quelques... affaires. » alléguai-je, tout en lui désignant la boule informe de vêtements à mes pieds. « Il faut vraiment que nous trouvions une solution... » murmurai-je, plus pour moi même que ma charmante interlocutrice. Il fallait une solution pour arrêter de camper au milieu de cette jungle hostile, et j'espérai que l'on finisse par la trouve bientôt. Je tournai la tête vers Cheyenne, lui adressant un petit regard désolé. J'étais désolé qu'elle et les autres femmes aient à subir ces conditions hostiles de vie. Elles qui, je me doutais, étaient habituées à de meilleures dispositions dans la vie courante. Pour se payer une telle croisière, on ne pouvait que se le permettre. Et voir la jeune femme en face de moi, légèrement décoiffée, ses vêtements salis par la boue et la vase, me mettait mal à l'aise.

Nous nous étions rencontrés une première fois sur le paquebot même, lorsqu'il naviguait encore sur les flots. C'était la première soirée chic, pour son inauguration. Tout le monde était sur son trente et un, et tout scintillait comme les étoiles d'une nuit sans nuages. Mais cette accalmie ne pouvait pas durer bien longtemps... Je m'étais laissé aller et j'avais bu un coup de trop... Éméché comme j'étais, j'avais réussi à renverser le contenu de mon verre de champagne sur la robe de Cheyenne, que j'avais sciemment tenté d'attirer l'attention, tout en lui tournant autour. Elle était resplendissante dans cette robe, qui mettait en valeur ses formes avantageuses. Je vous l'avoue tout de suite : je tiens mal l'alcool. Et je l'ai appris à mes dépends... Le lendemain de cette soirée désastreuse, ma petite notoriété en ayant pris un coup, je m'étais platement excusé auprès de la jeune femme, qui ne se fit pas rancunière auprès de moi. Et les choses avaient débuté comme ça. Nous avions rapidement fait connaissance, sans pouvoir approfondir, ce fichu naufrage ayant tout gâché.

Voilà pourquoi j'étais désolé pour Cheyenne. Je l'avais vu si distinguée et gaie la dernière fois. Elle avait peut-être perdue un peu de sa tenue irréprochable de jeune femme aisée, mais elle n'en restait pas moins charmante. Pimpante, par la même occasion. Elle n'avait pas l'air très abattue, ou peut-être cachait-elle ses émotions devant moi... Quoi qu'il en soit, j'étais content d'avoir trouvé un peu de compagnie et ainsi de réconfort au milieu de ses gens dépravés, dénués de joie et de bonne humeur. Je faisais peut-être partie d'eux, mais moi je n'avais pas perdu mon optimisme. Je restais borné quant à la possibilité de trouver quelque chose pour repartir d'ici, du moins regagner un semblant de « civilisation ». « Vous revenez du campement ? » demandai-je auprès de la jeune femme. Si jamais elle avait vu certains de nos hommes revenir de leur repérages, se seraient vraiment … bien. Et même si les nouvelles n'étaient que désillusions, elles montreraient que nous pourrions franchir cet obstacle que formait cette jungle épaisse, peuplée de prédateurs à écailles en quête de chair fraîche et en revenir, vivant.
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Cheyenne N. St John

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MessageSujet: Re: « A castaway keeps the horror of the waves, even quiet. » « A castaway keeps the horror of the waves, even quiet. » Icon_minitimeMer 29 Sep - 18:21

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    J'étais donc assise à côté de lui, il répondit à mes questions et m'en posa d'autres, sans me laisser vraiment le temps d'y répondre. Il m'observait de temps en temps à la dérobée. Je fini par pouvoir lui répondre, je pris donc la parole:

      Cheyenne ••• Je ne reviens pas du campement, je reviens du bateau! Pour tout vous dire j'y ai passé la nuit, je pensais être plus en sécurité à l'intérieur. J'ai dormit plutôt bien, même si je suis encore un peu fatiguée! J'ai entendu du bruit et j'ai pris peur! Je me suis dit que le mieux était de revenir sur la plage avec les autres et puis je vous ai trouvé en chemin!


    Voilà ma réponse pour faire simple. Je me demandais cependant pourquoi il m'avait demandé si j'arrivais du campement, qu'est-ce que cela pouvait bien faire? Et puis ça fit tilt dans ma tête, un groupe de personnes étaient partis la veille dans la forêt et beaucoup étaient fébriles et attendaient des nouvelles. Rien, depuis hier après-midi qu'ils étaient partis, nous n'avions eu aucunes nouvelles. C'est vrai qu'au fond, tout le monde espéraient qu'ils reviennent en vie, que nous ne nous sentions pas encore plus en danger sur cette partie de l'île, puisqu'avouons-le ce ne pouvait être qu'une île. Mon coeur ne fit qu'un tour lorsque j'entendis le cris d'un Dinosaure à travers la forêt, déchirant le bruit des vagues. Je sursautais et me retournais vers la forêt, craignant de voir le dinosaure débarquer. Après quelques minutes à retenir mon souffle et les muscles bandés, je me décrispais. Soulagée, je retournais le regard vers Bradley. Je n'avais même pas fait attention tellement j'étais obnubilée par le cri, ma main était crispée que sa chemise, voir peut-être même son bras, je retirais ma main d'un geste vif.

      Cheyenne ••• J'espère que je ne vous ai pas fait mal? Je suis vraiment désolée...


    Bien que d'apparence frêle, j'avais de la force dans les bras, jeune je me battais contre mon meilleur ami, qui d'ailleurs devait se retrouver avec sa pouffe à cet instant même, j'avais donc pris du muscle et une certaine force parcourait mon petit corps de femme.

      Cheyenne ••• Pour vous répondre à votre question silencieuse de tout à l'heure, je n'ai pas de nouvelles concernant le groupe qui est parti hier... Vous avez un proche parmi eux?

    J'étais curieuse, ça ne me ressemblait pas, mais je crois que ce retrouver ici offrait un nouveau panel de caractère pour chacun de nous. Il était fort possible qu'il s'inquiète autant parce que quelqu'un qui lui était proche soit parti en excursion dans la forêt et je comprenais parfaitement que ce fus le cas, puisque j'aurais réagit de la même façon. Pour le rassurer d'une quelconque façon, je rajoutais:

      Cheyenne ••• Je suis pratiquement sûre que nous aurons des nouvelles d'ici ce soir, si ce n'est avant!


    En tout cas j'espérais fortement que ce soit le ca!
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MessageSujet: Re: « A castaway keeps the horror of the waves, even quiet. » « A castaway keeps the horror of the waves, even quiet. » Icon_minitime

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